« Depuis tout petit, je joue dans l’atelier avec les chutes. »
Dans sa famille, l’artisanat est une vocation : un père menuisier spécialisé dans la finition intérieure, un grand-père mécanicien, un arrière-grand-père qui travaillait le bois. Naturellement, William s’est dirigé vers un métier manuel, où il redonne vie à des objets, notamment des fauteuils ou des intérieurs de voiture — sa deuxième passion, l’automobile.

L’histoire de William, artisan garnisseur
William a 25 ans. Il vient d’Anhée, un petit village de la région namuroise. Il est garnisseur indépendant. Son histoire ? Celle d’un artisan passionné, nourri dès l’enfance par l’amour du geste et du travail bien fait.
Le goût du détail
Pour William, la qualité passe par la précision. Très tôt, il découvre l’univers Festool aux côtés de son père, qui achète sa première machine quand William a à peine dix ans. Cette rigueur, il la garde aujourd’hui comme pilier de son métier.
« Tous les détails ont leur importance. Le diable se cache dans les détails. »
Lorsqu’il devient indépendant en 2019, son père lui prête du matériel. Et quand vient le moment d’acheter ses propres outils, le choix est évident : la qualité avant tout, avec des machines Festool.
« Du bon matériel, ça aide vraiment à faire du bon travail. »
« Tous les détails ont leur importance. Le diable se cache dans les détails. »
Lorsqu’il devient indépendant en 2019, son père lui prête du matériel. Et quand vient le moment d’acheter ses propres outils, le choix est évident : la qualité avant tout, avec des machines Festool.
« Du bon matériel, ça aide vraiment à faire du bon travail. »

Une vie bouleversée
Quelques mois à peine après avoir lancé son activité, William est victime d’un très grave accident de voiture. Il passe un mois dans le coma. À son réveil : fauteuil roulant, bras droit paralysé. Les médecins lui annoncent qu’il restera comme ça toute sa vie.
« Je n’ai jamais voulu accepter ça. »
Contre toute attente, il entame un long parcours de rééducation, jour et nuit au centre. Très vite, il cherche à reprendre, petit à petit, une activité manuelle. Chipoter, bricoler, tester. Trouver des solutions pour continuer à exercer son métier, malgré le handicap.
« J’ai besoin de travailler avec mes mains. J’ai trouvé des moyens de tout refaire… mais différemment. »
« J’ai besoin de travailler avec mes mains. J’ai trouvé des moyens de tout refaire… mais différemment. »

Une rencontre décisive avec l’ExoActive
C’est par hasard, dans une newsletter Festool, qu’il découvre l’ExoActive — l’exosquelette conçu pour soulager les artisans dans leurs tâches au-dessus des épaules. Curieux, il en parle à ses kinés, qui valident l’idée. Il teste d’abord des alternatives mécaniques à ressort, sans succès : trop rigides, pas adaptées à ses capacités physiques. Puis il l’essaie lors d’un Roadshow Festool. Et là, c’est la révélation.
« C’était waouh. Grâce à l’ExoActive, je peux lever les deux bras. Je peux à nouveau poser des tentures chez mes clients. »
L’outil lui redonne autonomie et fierté. Il peut continuer à travailler seul, à faire ce qu’il aime, sans renoncer à ses standards de qualité.
« C’était waouh. Grâce à l’ExoActive, je peux lever les deux bras. Je peux à nouveau poser des tentures chez mes clients. »
L’outil lui redonne autonomie et fierté. Il peut continuer à travailler seul, à faire ce qu’il aime, sans renoncer à ses standards de qualité.

Une volonté hors du commun
Ce qui ressort de l’histoire de William, c’est une force de caractère rare. Une volonté inébranlable de continuer, de se réinventer, de ne pas demander d’aide, et de rester fidèle à sa passion.
« Je suis un peu buté. Je veux y arriver. Et avec la volonté, on va loin. »
« Je suis un peu buté. Je veux y arriver. Et avec la volonté, on va loin. »
Une fidélité de cœur à Festool
William incarne ce que Festool défend depuis plus de 100 ans : l’engagement, la passion, la résilience et l’excellence artisanale. Ce n’est pas un hasard s’il est resté fidèle à la marque depuis ses débuts.
« Ça ne m’étonne pas que Festool ait 100 ans. C’est une marque qui a su évoluer avec les réalités du métier des artisans. »
« Ça ne m’étonne pas que Festool ait 100 ans. C’est une marque qui a su évoluer avec les réalités du métier des artisans. »









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